LA LENTE ASPHYXIE DE LA GROTTE
Après la chute de l’Empire, le tourisme côtier va poursuivre son essor. Parallèlement, l’attrait de la grotte va décliner face aux assauts des éléments naturels:
Vers 1815, P-J. Lesauvage, pharmacien aide major à l’hôpital militaire de Bayonne, témoigne dans un ouvrage peu connu de l’état de la grotte (55): « A l’extrémité d’Anglet, sur le bord de la mer, on voit la Chambre d’Amour, laquelle n’est autre qu’une roche qui offre une vaste cavité au niveau de la mer et qui est baignée par les flots dans les grandes marées….» . Ainsi nous apprenons que la grotte n’est plus atteinte que par les grandes marées alors que 9 ans auparavant, elle est quasiment immergée en permanence!
Dans le livre « Nouvelle chronique de la Ville de Bayonne » écrit par le Bayonnais Jean-Baptiste Bailac, l’auteur signale à la page 440 que la grotte de la Chambre d’Amour en 1820 est à demi-comblée …(58)
En 1822, Wilhelm von Ludemann, écrivain allemand mais aussi ethnographe, vient en voyage au pays basque! Quatre ans plus tard, il sort un livre qui s’intitule « Züge durch die Hochgebirge und Thäler der Pyrenäen im Jahre » , dans lequel il écrit une nouvelle version de la légende, en choisissant des prénoms différents . Point important, il signale que l’événement sur lequel s’appuie la légende remonterait à la fin du 17 ème siècle…comme Etienne de Jouy cinq ans plus tôt. (34 page 54; 4 page 27)
En 1828, la duchesse de Berry, Marie-Caroline de Naples, est en pèlerinage royaliste dans le sud-ouest de la France. Elle fait un arrêt bucolique un soir d’été à la Chambre d’Amour avec sa cour. Pour l’occasion, la lune est de sortie et l’accompagne jusqu’à la mer dans une chevauchée incertaine. A son arrivée, le vicomte Walsh, journaliste et romancier raconte dans « Suite aux lettres vendéennes » (10 p447): « Enfin, on arriva à la Chambre d’Amour…O surprise, ô désappointement! Un tas énorme de sable amoncelé par les vagues avait tellement encombré la grotte, qu’il restait à peine à découvert quelques pouces de la voûte; mais cela n’arrêta pas la princesse; elle voulut voir le peu qu’il existait encore; précédée par des torches que portaient des habitants de ces bords, elle gravît gaiement la montée pénible….Arrivée en haut, elle repris haleine un moment et daigna adresser à ceux qui l’avait suivie quelques questions sur l’état antérieur de la grotte et sur les causes de son état actuel. La princesse, toujours aimable, malgré son désappointement, se replaça sur son cacolet et la caravane se remit en route » J. Thore n’avait pas tort! Les sables, venus du nord, étaient en passe de doubler la pointe de la Chambre d’Amour et par la même occasion, finissaient d’obstruer l’entrée de la grotte qui faisait encore 5 à 6 mètres de haut 20 ans plus tôt! Le phénomène d’ensablement était si marqué qu’il commençait à étouffer la légende. C’était les prémices de son déclin.
Le cadastre Napoléonien, réalisé en Septembre 1831, situe l’emplacement de la grotte. Une précision qui prendra toute son importance 150 ans plus tard…
Le 20 Juillet 1834, un obscur littérateur, Prosper de Lagarde, constate à son tour l’ensablement du seuil de la grotte. Il retranscrit son étape dans « Voyage dans le pays basque et aux bains de Biarritz » (11, p81), sorti à Paris en 1835: « Après les rochers et les bains de Biarritz, j’avais encore à voir la Chambre ou Grotte d’Amour. C’est une grotte située au bord de la mer, dans un enfoncement de rochers, à quelques distances de ce village. On donne à cette dénomination de grotte d’Amour, l’origine suivante… » C’est alors que l’auteur livre sa version de la légende des amoureux, avant de reprendre un peu plus loin: « Quoiqu’il en soit de l’authenticité de cette histoire, toujours est-il que la Grotte d’Amour, quoique beaucoup moins digne d’attention que Biarritz, figure au nombre des curiosités de l’endroit. Je résolus donc de ne pas partir sans lui avoir payé mon tribut… » Pour la première fois, Biarritz semble voler la vedette à Anglet et à sa grotte. Les centres d’intérêt des touristes seraient-ils en train de changer? L’auteur reprend: « Après avoir laissé sur notre gauche un très beau phare de construction récente, auquel même on travaillait encore, nous arrivâmes à un petit hameau misérable nommé Bourdeille (voir photo cadastre Napoléonien). Là, trois ou quatre petits polissons prenaient leurs ébats. Catherine en appelle un, et lui dit de me conduire à la grotte d’Amour. Me voilà donc avec mon guide chevauchant dans le sable, comme tout à l’heure Glorieux (nom du cacolet), et ; comme lui, y entrant jusqu’aux genoux. Enfin nous arrivons devant un immense rocher, au bas duquel j’aperçois une ouverture d’un pied de hauteur sur trente ou quarante de longueur. Mon guide s’arrête et me montre du doigt cette ouverture: Eh bien! lui dis-je, en regardant de tous les côtés, où est donc la Grotte d’Amour?_ La voilà! _Comment çà, la voilà, on y entre donc pas, dans cette grotte?_ Si fait, on y entre monsieur. _Mais Comment? _ En se couchant à plat ventre et en y descendant à reculons sur le sable. Oh! une fois que vous y serez, vous pourrez vous y tenir debout, vous y serez fort à votre aise. De temps en temps, on déblaie l’entrée pour la faciliter aux voyageurs; mais la mer y ramène toujours une quantité de sable et, au bout de peu de temps, c’est comme vous voyez. En effet, la mer s’avançait à cent pas de nous, terrible et furieuse; je ne vous mens pas: c’était justement une marée pleine lune, le dimanche 20 juillet; voyez l’almanach… » L’enfant révèle que l’entrée de la grotte demande un entretien fréquent de désensablement pour en améliorer l’accès au gens de passage, mais en vain. « _Oh monsieur, soyez tranquille. La mer ne vient jamais jusqu’à la grotte: elle reste à plus de cinquante pas, même dans les plus fortes marées comme celle-ci. _ Mais tu viens de me dire que la mer y ramenait toujours des sables qui en bouchent l’entrée? _La mer les amène sur la plage, mais c’est le vent qui les porte jusqu’ici… » C’est alors qu’on réalise que la mer a abandonné la caverne car même les plus hautes marées ne l’atteignent plus.
L’auteur se lance: « Je pris donc mon parti et me décidais à pénétrer dans la grotte…_Allons, monsieur, mettez-vous à plat ventre, tout de votre long, les pieds vers la grotte, et ramper, comme moi, à reculons; et surtout, ne levez pas la tête, car vous la casseriez sur le rocher. Je m’exécutais de bonne grâce, après m’être bien assuré que la plage était déserte, et que personne ne pouvait me voir faire ma génuflexion. Nous descendîmes ainsi d’une douzaine de pieds en nous débattant dans ce sable, après quoi, nous pûmes mettre pied à terre et nous tenir debout….Après avoir erré quelques temps à tâtons dans cette caverne qui m’a paru avoir une forme à peu près circulaire, cinquante à soixante pied de diamètre, sur douze à quinze pieds de hauteur, comme il était avéré que j’avais bien vu la grotte de la Chambre d’Amour, je pensais à la retraite. Nous sortîmes aussi agréablement que nous étions rentrés… » Les dimensions de la grotte relevées par P. de Lagarde sont précieuses. Après conversion, on obtient un diamètre de 16.50 à 19.80 mètres pour une hauteur de 4 à 5 mètres. On a donc le sentiment que le sol s’est élevé au fil du temps!
En 1836, Félix Morel fait le même constat que Prosper de Lagarde dans le guide régional « Bayonne, vues historiques et descriptives » (41, page 417) et rajoute: « La Chambre d’Amour est aujourd’hui dépouillée de son attrait de terreur et de mystère; solitaire et abandonnée, elle n’est plus témoin que des amours 100 fois renouvelés des goélands et des éperviers qui planent et qui s’ébattent incessamment sur cette côte. Tous les vieux souvenirs que recommandaient une chapelle, une roche, un ermitage, ou un tombeau sont éteints ou déflorés et il faut au chroniqueur ou au romancier de longues études pour raviver ces couleurs et donner quelque prix à un récit des temps passés» Il confirme que la grotte est en train de disparaître sous les sables et avec elle, la flamme de sa légende. Il rappelle qu’elle fait l’objet d’un constant désensablement de son entrée pour permettre aux visiteurs de s’y introduire.
En 1842, G. de Lavigne rapporte dans l’ «Artiste en province», journal de la littérature et des beaux arts, que ce lieu de rendez-vous des amoureux existe toujours, que l’entrée de la grotte est à demi comblée, que la voûte est couverte de noms et de dates et qu’elle perd encore de son charme avec l’installation ressente de deux auberges près de la « tombe de Saubade et Laurens… » (43 p 201)
En 1843, Victor Hugo entreprend une escapade amoureuse dans les Pyrénées avec Juliette Drouet (23). De passage à Biarritz le 27 Juillet, il est subjugué par ce village blanc aux toits roux et aux volets verts. Il en parle dans des œuvres inédites: «En voyage, Alpes et Pyrénées » (44 page 54). Il décrit la présence de grottes « où l’eau filtre goutte à goutte, et pleure en longue perles depuis la voûte » et « des chambres sur les rivages avoisinant » du dit village, mais sans préciser si la fameuse caverne en fait partie. Manquait-il de temps pour aller lui rendre visite ou bien trouvait-il que la grotte avait tout simplement perdu son statut légendaire?
En 1845, le « Guide pittoresque et artistique du Voyageur, du géologue et de l’homme du monde aux Pyrénées» , édité par Richard parle d’une grotte de 13 mètres de diamètre.(44 page 594) Or, en 1806, J. Thore relève un diamètre situé entre 21 et 24 mètres. Ainsi, on constate une nouvelle fois que celle-ci s’ensable.
En Juin 1847, le naturalise M. de Quatrefages vient parcourir la baie de Biscaye et commence son étude par la côte angloye. Voici l’analyse qu’il dresse sur la grotte de la Chambre d’Amour dans la Revue des deux mondes: «depuis quelques années, sous le choc répété des vagues, une portion de la falaise s’est écroulée, des sables venus du large ont recouvert ces débris et obstrué l’entrée de la grotte… Aujourd’hui, le voyageur surpris par la marée et enfermé dans la Chambre d’Amour en serait quitte pour être pendant quelques heures en plein air; tout au plus, si la mer était grosse, serait-il forcé de chercher un refuge au sommet du monticule qui recouvre le tombeau des deux amants» (22) L’auteur explique aussi que le sable fin, emportés par le vent, s’accumule contre les falaises.
LE DEUXIÈME SOUFFLE POUR LA GROTTE
Pierre Lafargue révèle qu’en 1850, la municipalité a alloué une somme d’argent pour procéder à l’ouverture de la grotte et à son entretien pendant les dix années suivantes, dans le but d’éviter qu’elle ne disparaisse pour toujours. (13; p18 et 179).
En 1852, »Le guide du voyageur, de Bayonne à Saint Sébastien » publié par C. Hennebutte, confirme l’intervention de la ville d’Anglet pour sauver la caverne: « La grotte a été longtemps comblée et que l’on s’occupe de la déblayer« .(12) Ainsi la légende revit, mais pour combien de temps?
En 1853, le Courrier de Bayonne publie plusieurs articles sur la Chambre d’Amour:
Celui de E. Lamégnère, daté du 22 Mai, fait une analyse historique des lieux avec une grotte encore obstruée: « La chambre d’Amour était une grotte de la commune d’Anglet qui a longtemps joui d’une grande renommée dans le pays. On s’y rendait en pèlerinage le dimanche, de Bayonne et de Biarritz, comme d’Avignon on se rend à Vaucluse. Les parois en étaient couvertes intérieurement de noms, de devises et de chiffres amoureux. L’événement fort ancien qui s’y rattache et que raconte cette légende a été également célébré en prose par de Jouy, en vers par quatre poètes, français, espagnol, anglais et allemand Népomucène Lemercier, Iriarte, Southey, ou Bürger… Quant à la grotte, jadis, si célèbre, nul n’en parle plus de nos jours. Tous les pèlerinages élégiaques ont cessé depuis plus de trente ans. Les sables ont comblé l’asile des amours fugitifs; tous ces noms d’heureux inconnus, tous ces chiffres entrelacés, toutes ces devises palpitantes ont disparu sous l’avalanche aréneuse et la Chambre d’Amour n’est plus, pour les populations gasconnes et basques du littoral, qu’un souvenir lointain que le temps oublieux efface chaque jour de son aile.« (12b)
Un autre article, du 16 Octobre, d’Auguste Bouët, raconte une nouvelle légende, celle de Mérilla et Saubad. Il termine ses lignes en rappelant la situation de la grotte: « Bien qu’elle soit aujourd’hui presque entièrement obstruée par les sables, elle n’en attire pas moins encore les visites des curieux voyageurs, et plus d’une fois elle éveilla leur verve et leurs sympathiques souvenirs.« (42)
Pierre Lafargue déclare dans ses recherches en 1853: « Suite à son dégagement, la grotte de la Chambre d’Amour n’avait jamais été plus attrayante« . (13 p18)
En 1854, Napoléon III, probablement dans l’esprit d’un pèlerinage familial, fit construire une grande villa face à la mer au pied du cap St Martin, du côté de Biarritz. Sa femme, Eugénie de Montijo, y passa les quatorze années suivantes, de juillet à octobre, avec sa cour. Cette côte, qu’elle avait découverte dès l’age de 9 ans, lors de ses allez-venues entre Madrid et Paris, l’avait conquise. Une fois devenue impératrice, sa contribution pour le quartier de la Chambre d’Amour fut sans appel: construction d’une chapelle, financement d’une forêt de pins dans la lande littorale, soutien à Notre Dame du Refuge… Bien que nous n’ayons trouvé aucun texte attestant de sa visite à la grotte, il est dit qu’elle était reconnue de tous comme une aventurière romantique et qu’elle avait été séduite par la grotte et sa légende.
En 1855, A. Chaho, écrivain et périodiste basque, rappelle dans son ouvrage « Biarritz, entre les Pyrénées et l’Océan » combien la terre gagne sur la mer à la Chambre d’Amour et prend la caverne comme repère pour signaler que le dénouement de la légende aurait été bien différent à son époque! (46)
En 1856, A. Germond de Lavigne signale, dans le guide: « Autour de Biarritz: promenades à Bayonne, à la frontière et dans le Pays Basque« , que l’on peut entrer dans la grotte en se courbant mais qu’elle est loin des dimensions qui en ont fait sa réputation. (14, page 67-68)
Le 10 Août 1858, Adolphe Joanne publie ses fameux guides touristiques, dont un numéro sur le sud-ouest de la France: »Itinéraire descriptif et historique des Pyrénées« . Il n’est pas très enchanté par le coin et décrit les lieux tels quels: « La Chambre d’Amour, grotte insignifiante, à demi-fermée par les sables, est située dans une anse profonde, au pied d’une falaise escarpée« (35)
Les bains de mer qui continuent de recevoir l’approbation du corps médical, poursuivent leur développent à Anglet. Après les deux guinguettes implantées près de la grotte, voici quatre baraques de bain en bois en contre bas du chemin de la plage, représentées sur un document des Ponts et Chaussées de 1861.
En 1864, le Guide de l’étranger pour Bayonne et ses environs, précise qu’il est difficile de pénétrer dans la grotte remplie de sable.(48, p15)
En 1865, Bismarck, ministre-président de Prusse, vient à Biarritz pour échanger avec Napoléon III sur l’avenir de l’Europe. Il décrit dans ses mémoires quelques unes de ses excursions, que P. de Gorsse recueillit dans une plaquette (23 page 18). La phrase suivante touche notre étude: « A un quart de lieu de Biarritz, il y a une étroite fissure dans les rochers de bord de la mer, gazonnée, buissonneuse, ombragée, invisible à tous les regards…. » Que pouvait-il bien y faire???
Prochain épisode: La grotte face a son imparable destin: sa disparition!
L’équipe SoSLa
Bibliographie:
(1) J.F Larguillier et P. Charbonneyre, RR-32374-FR, « Effondrement de l’allée des Arroques, étude géologique et prospection radar » 15 03 1991, BRGM Aquitaine.
(2) Pierre de Lancre « Tableau de l’inconstance des mauvais anges et démons... , Paris 1612, p43 et 44.
(3) E. Ducéré, Société des sciences, art et lettres de Bayonne »Entrée solennelle des rois, reines et grands personnages dans la ville de Bayonne. » Chapitre II, le prince de Condé, 1903, p41 et p42.
(4) Emile V. Telle, professeur de lettre à l’Université Catholique d’Amérique, à Washington: « La Chambre d’Amour : les origines littéraires et pittoresques de la fortune de Biarritz » Marrimpouey Jeune, Pau, 1969, Médiathèque de Bayonne.
(5) F. de Baculard d’Arnaud: » Délassement de l’homme sensible ou Anecdotes diverses » Tome V, Neuvième partie, page 224-246.
(6) Jean-Baptiste Bory de Saint-Vincent; Annales des Voyages, de la Géographie et de l’histoire Tome VI, 1810: »Sur les grottes de Biarits, près de Bayonne » p54.
(7) Jean Thore, « Promenade sur les côtes du golfe de Gascogne ou aperçu topographique, physique et médical des côtes occidentales de ce même golfe », 1810.
(8) Edouard Ducéré: « Les journées de Napoléon à Bayonne » Bayonne 1908. page 51 et 69
(8b) Népomucène Lemercier, « Mercure de France » 33 ème tome, Paris, 1808.
(8c) Mademoiselle Avrillion, « Memoires de Mademoiselle Avrillion, premiere femme de Chambre de l’impératrice« Tome I, Paris, 1833.
(9) Etienne de Jouy: « L’Hermite en province » Tome I, 1819.
(10) Joseph de Walsh, » Suite aux lettres vendéennes » Paris 1829.
(11) Prosper de Lagarde, « Voyage dans le pays basque et aux bains de Biarritz« Paris 1835.
(12) Charles Hennebutte « Le guide du voyageur, de Bayonne à Saint Sébastien » 1852, Archives Médiathèque de Bayonne.
(12b) Courrier de Bayonne 19, 22 Mai et 16 Octobre 1853, Archive Médiathèque de Bayonne.
(13) Pierre Laffargue: « Anglet, la Chambre d’Amour » 2007, Edition Atlantica.
(14) Germond de Lavigne, « Autour de Biarritz : promenades à Bayonne, à la frontière et dans le Pays basque« , 1856, Paris.
(18) Hector Iglesias, professeur de la langue basque, « Onomastique historique de la paroisse labourdine d’Anglet au XVIIIe siècle« Janvier 2000, page 9.
(21) René Cuzacq, « La prestigieuse histoire de la Chambre d’Amour« , S.S.L.A.B, 1974, série N 130.
(22) Armand de Quatrefages, Souvenir d’un naturaliste, « La Revue des deux Mondes, recueil de la politique, de l’administration et des mœurs » Janvier 1850.
(23) Pierre de Gorsse: « Biarritz de jadis, plage des rois » 1962.
(24) Camille Pitollet, Bulletin Hispanique « Les débuts du règne de PhillipeV » 1934.
(25) Le maréchal de Bassompierre, « Mémoire sur l’histoire de sa vie » 1665.
(26) Gabriel François baron de Blaÿ de Gaïx, « Histoire militaire de Bayonne: De la mort d’Henri IV à la Révolution française » 1980.
(27) Henri Beraldi, « 100 ans aux Pyrénées » 1899.
(29) E. Ducéré, 1908: »Marie-anne de Neubourg à Bayonne 1706-1738 » Archives Médiathèque de Bayonne.
(29b) E. Ducéré, 1908: « Les journées de Napoléon à Bayonne : d’après les contemporains et des documents inédits« . page 39; 51; 68.
(29c) E. Ducéré, 1904: « L’impératrice en cacolet » SSALB, page 171.
(30) Manex Goyhenetche, « Histoire d’Anglet: des origines à nos jours », Donostia, Elkar, 1997
(32) René Cuzacq, Anglet Mag « Image du passé à la Chambre d’Amour » Médiathèque de Bayonne.
(33) Lassus Alfred, « Petite contribution à l’histoire d’Anglet » n°88, Ekiana 2003
(34) Wilhelm von Ludemann, » Züge durch die Hochgebirge und Thäler der Pyrenäen im Jahre » 1822.
(35) Adolphe Joanne : »Itinéraire descriptif et historique des Pyrénées de l’Océan a la Méditerranée » Edition Hachette, 1858.
(36) SOLETCO S.A., Etude Géotechnique, « Falaise du VVF« , Anglet, 4 Juillet 1984, Archives Municipaux de la Ville d’Anglet.
(37) Pierre Hourmat: »La Chambre d’Amour » Anglet Magasine, 1979, Archives Médiathèque Bayonne.
(41) Félix Morel: »Bayonne, vues historiques et descriptives« , Bayonne, Juin 1836.
(42) Auguste Bouët, le Courrier de Bayonne: « La Chambre d’Amour » Octobre 1853, médiathèque Bayonne.
(43) Germond de Lavigne, l’Artiste, journal de la littérature et de l’art: « L’artiste en Province« , Paris, 1842.
(44) Victor Hugo, En voyage, Alpes et Pyrénées, 1843.
(45) Richard, « Guide pittoresque et artistique du Voyageur, du géologue et de l’homme du monde aux Pyrénées » 1845.
(46) Auguste Chaho, écrivain et périodiste basque: « Biarritz, entre les Pyrénées et l’Océan : itinéraire pittoresque » Deuxième partie, Bayonne, 1855.
(48) Madame Lamagnière, « Le Guide de l’étranger pour Bayonne et ses environs« , Bayonne, 1864.
(52) Dr Ch. Lavielle, « Où faut-il en France, passer l’hiver? Les stations climatiques hivernales« , Paris, 1901.
(54) Paul Raymond « Dictionnaire Topographique du Département des Basses-Pyrénées« , Imprimerie Impériale, 1863.
(55) P-J. Lesauvage, pharmacien militaire: « Essai topographique et médical sur Bayonne et ses environs » Paris, 1825.
(57) Mémoire du constructeur de navire Castaings de Bayonne, 1725.
(58) Jean-Baptiste Bailac:« Nouvelle chronique de la Ville de Bayonne » imprimerie Duhart-Fauvet, Bayonne 1828.